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CERCLES DE LECTURE

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2020

AUTOMNE 2020

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Manifeste cyborg
de Donna Haraway

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« La figure du cyborg, telle que Donna Haraway l’a décrite dans le texte utopique et visionnaire de 1985, Le Manifeste Cyborg, est « un organisme cybernétique, un hybride de machine et d’organisme vivant, une créature de la réalité sociale aussi bien qu’une créature imaginaire. » Le cyborg est une figure de rhétorique, une fiction qui nous permet de penser notre réalité, de décoder notre culture et dont l’horizon utopique est celui d’un monde post-genre.

 

Nous vivons dans un monde peuplé de cyborgs, fruits d’accouplements opérés par la médecine ou dans la guerre moderne entre machines et organismes vivants. Haraway ne nous place ni devant une technophobie prétendument féminine, ou féministe-naturaliste, ni dans une glorification de la technologie et de ses utopies libératrices ou dystopiques des cybers cow-boys. La seule politique responsable est celle d’une négociation des frontières entre les humains, les animaux, les machines, et qui plaide pour le plaisir. » (Présentation de Nathalie Magnan, traductrice du texte, 2006)

 

Ce cercle de lecture en trois séances autour de ce texte aussi court qu’inépuisable est ouvert aux étudiant.es de tous les cycles. Compte tenu des contraintes actuelles de santé publique, les discussions auront lieu par l’entremise du logiciel de visioconférence Zoom. Elles se construiront chaque fois autour d’une partie déterminée du texte de Haraway ainsi que sur des textes de littérature secondaire proposés à l’avance.

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Calendrier des séances :
 

Séance 1 : 6 novembre 2020, 15h

Séance 2 : 20 novembre 2020, 15h

Séance 3 : 4 décembre 2020, 15h


Veuillez contacter les organisateur.ices par courriel pour avoir accès au calendrier des lectures.


Myriam Coté : myriam.cote.9@ulaval.ca

Benjamin Décarie-Daigneault : benjamin.decarie-daigneault.1@ulaval.ca

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AUTOMNE 2018
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Ces corps qui comptent
de Judith Butler

Dans Ces corps qui comptent, Judith Butler revisite les concepts de performativité et de genre qu’elle a contribué à rendre célèbres grâce à son premier opus Trouble dans le genre. Ces corps qui comptent approfondit les enjeux de matérialité et de corporéité à partir de sa perspective constructiviste. Pionnière du féminisme postmoderne et des théories queers, la philosophe Judith Butler est incontournable pour réfléchir l’importance du genre et du pouvoir dans la constitution de la subjectivité.

 

Ouvert aux étudiant.e.s de tous les cycles. Le seul prérequis est d’avoir lu les textes préalablement à la rencontre.

 

« Judith Butler opère dans Ces corps qui comptent une reformulation de ses vues sur le genre en répondant aux interprètes de son précédent livre, qui y voyaient l’expression d’un volontarisme (on pourrait « performer » son genre comme on joue un rôle au théâtre, on pourrait en changer comme de chemise) et d’un idéalisme (le genre ne serait qu’une pure construction culturelle ou discursive, il n’y aurait pas de réalité ou de substrat corporel derrière le genre). Selon l’auteure, la prise en compte de la matérialité des corps n’implique pas la saisie effective d’une réalité pure, naturelle, derrière le genre : le sexe est un présupposé nécessaire du genre, mais nous n’avons et n’aurons jamais accès au réel du sexe que médiatement, à travers nos schèmes culturels. Autrement dit, le sexe, comme le genre, constitue une catégorie normative, une norme culturelle, donc historique, régissant la matérialisation du corps. Il importe dans cette perspective de souligner que le concept de matière a une histoire, et qu’en cette histoire sont sédimentés des discours sur la différence sexuelle. Or, si certains corps (par exemple les corps blancs, mâles et hétérosexuels) sont valorisés par cette norme, d’autres (par exemple les corps lesbiens ou noirs) sont produits comme abjects, rejetés dans un dehors invivable parce qu’ils ne se conforment pas aux normes. À travers une reprise critique du concept foucaldien de « contrainte productive », Judith Butler va, loin de tout volontarisme, s’efforcer de ressaisir la façon dont les corps, informés par des normes culturelles, peuvent défaire ces normes et devenir le lieu d’une puissance d’agir transformatrice. Cette réflexion sur la matérialité des corps et les limites discursives du sexe est donc indissociablement épistémologique et politique. » (Quatrième de couverture)

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Mardi 25 septembre 2018 - Trouble dans le genre, «Sujet de sexe/genre/désir», p. 59-111 et Ces corps qui comptent,

« Introduction», p. 11-38

Mardi 9 octobre 2018 - Ces corps qui comptent, «La matière des corps», p. 39-68

Mardi 23 octobre 2018 - Ces corps qui comptent, «Le phallus lesbien et l'imaginaire morphologique», p. 69-102

Mardi 6 novembre 2018 - Ces corps qui comptent, «Identification fantasmatique et assomption de sexe», p.103-127

Mardi 27 novembre 2018 - Ces corps qui comptent,« Critically Queer», p.  25-244

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Pavillon Félix-Antoine-Savard, salle 548, 13h

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Pour plus d'information s: marie-anne.casselot-legros.1@ulaval.ca

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De la négativité en phénoménologie
de Marc Richir
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« Malgré des appels explicites à Descartes dans la phénoménologie telle que Husserl l’a conçue, on ne peut pas dire qu’y soient réellement prises en compte la problématique du doute hyperbolique, et encore moins ce qui va de pair avec cette dernière, la problématique du Malin Génie. Tout au plus y rencontre-t-on l’« hypothèse » de la « destruction du monde » et la question de la négation n'y est traitée que de façon assez triviale. Avec la question de l’épochè phénoménologique hyperbolique, cet ouvrage s’efforce de montrer un certain nombre de conséquences cruciales que la mise en jeu de l'hyperbole introduit dans l'architectonique interne de la phénoménologie : questions de l’intentionnalité, du langage, du simulacre originaire, de l’apparence pure, etc. Non par retour au scepticisme classique, mais par ouverture d'un nouveau « scepticisme critique » qui n'exclut pas, mais réimplique autrement l’analyse phénoménologique, par-delà l’intentionnalité, toute doxa positionnelle (perception, intuition) ou quasi-positionnelle (imagination) étant mise en suspens. Le champ ainsi dégagé, fait de mobilités et d'instabilités, qui est désigné ici comme archaïque, est la base phénoménologique, et non pas le fondement du champ fort rigoureusement étudié par Husserl. La phénoménologique ne peut plus dès lors prétendre au titre de science, mais est amenée à s’exercer comme une sorte d'art philosophique, plus proche de la poésie et de la musique, où sont en jeu les profondeurs de notre vie dont le vécu husserlien n'est pour ainsi dire que la surface immédiatement perceptible, le plus souvent illusionnante. » (Quatrième de couverture)

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Calendrier provisoire

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1ere séance (14 septembre) : Séance d’information + Avant-propos (p. 5-12)

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2e séance (28 septembre) : « Hyperbole et Malin Génie » (p. 13- 51)

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3e séance (12 octobre) : « Concrétudes phénoménologiques, simulacres, Malin Génie » (p. 53-76)

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4e séance (26 octobre) : « Note sur l’apparence pure et le phénomène comme rien que phénomène/De la diastole à son expression/ Du concept de simulacre virtuel : sur le schématisme et le rythme ». (p. 75-115)

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5e séance (9 novembre) : « Hyperbole rhétorique et hyperbole phénoménologique » (p. 117-136)

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6e séance (23 novembre) : « De l’incommensurable, de l’humanisation archaïque et de la déshumanisation ». (p. 137-172)

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7e séance (7 décembre) : « Note sur la phénoménalité de la pensée/Systole, ressaut, diastole/Sens, signification, concept » (p. 173-198)

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8e séance (21 décembre): « Note sur la notion d’opérateur analytique de significations et langue commune/Variations phénoménologiques sur le cogito et le Malin Génie » (p. 199-221)

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Pavillon Félix-Antoine-Savard, salle 413, 13h

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Contact : jean-francois.perrier@fmed.ulaval.ca/cesar.gomez-algarra.1@ulaval.ca

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ÉTÉ - AUTOMNE 2017
Phénoménologie en esquisses. Nouvelles fondations
de Marc Richir
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« Après l’efflorescence, depuis et après Heidegger, de diverses figures de métaphysique d’inspiration phénoménologique ; et après la domination d’un certain « structuralisme » dans les sciences humaines, cet ouvrage vise à rouvrir un accès au champ des analyses concrètes pratiquées par Husserl. Prenant son départ dans l’extraordinaire phénoménologie husserlienne de l’« imagination » (phantasia), il montre du même mouvement que la phénoménologie en général doit, pour tenir en cohérence, être étendue, refondue, refondée dans l’articulation globale (architectonique) de ses angles d’attaque ouvrant à la compréhension des questions. Cette entreprise est menée au fil des problèmes que posent à l’analytique phénoménologique la perception, l’imagination, le souvenir, le rêve, le langage de l’intersubjectivité. Et elle se conclut par l’inventaire raisonné des nouvelles fondations qui permettent de reprendre, pour la prolonger vers des horizons insoupçonnés, la phénoménologie de Husserl – horizons du registre le plus archaïque de la phénoménologie : la capacité vivante (leiblichkeit) et la mondanéité du monde comme abîmes non confondus. » (Quatrième de couverture)

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Calendrier provisoire

23 août - Avant-propos et Introduction  (p. 5-57)

1 septembre  - Première section, § 1-5 (p. 61-112)

6 septembre - Première section, § 6-9 (p. 112-150)

13 septembre - Première section, § 10-11 (p. 150-182)

20 septembre - relâche (colloque Heidegger)

27 septembre - Première section, § 10-11 (p. 150-182) - suite

4 octobre - Deuxième section, chapitre I (p. 182-205)

11 octobre - Deuxième section, chapitre II (p. 205-230)

18 octobre - Deuxième section, chapitre II-III (p. 230-245)

1 novembre - Deuxième section, chapitre III, § 1-3 (p. 245-267)

8 novembre - Deuxième section, chapitre III, § 4-5 (p. 267-291)

15 novembre - Deuxième section, chapitre III (p. 291-306)

22 novembre - Deuxième section, chapitre IV § 1 (p. 306-327)

6 décembre - Deuxième section, chapitre IV (p. 329-391)

13 décembre - Deuxième section, chapitre V § 1-2 (p. 393-419)

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Contact : mathilde.bois.1@ulaval.cajean-francois.perrier@fmed.ulaval.ca.

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Affiche 

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AUTOMNE 2016- HIVER 2017
Homo Sacer : le pouvoir souverain et la vie nue
de Giorgio Agamben
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HIVER 2016
Homo Sacer : l'usage des corps
de Giorgio Agamben

 

Giorgio Agamben publie, en 1995, Homo Sacer. Le pouvoir souverain et la vie nue, qui sera le premier tome de son enquête archéologique portant sur la biopolitique. Élaborée à la fois à partir des philosophes occidentaux – dont, pour ne nommer que ceux-là, Foucault, Arendt, Benjamin, et Aristote – et des archives, cette archéologie s’articule autour de trois thèses dont nous voudrions examiner l’intrication et la portée actuelle. Car si le ban est la relation politique originaire, si le pouvoir souverain agit en produisant une vie nue et si le paradigme de notre société actuelle est le camp, l’État d’exception n’est-il qu’une démesure passagère, ou n’est-il pas plutôt toujours déjà-là, au cœur même du pouvoir occidental ?

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Les étudiants des trois cycles d'études sont les bienvenus. Le seul prérequis est d’avoir lu les textes avant la rencontre.

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Les séances auront lieu au FAS-312, de 14h à 16h, aux dates suivantes :

29 janvier 2016 – Logique de la souveraineté p. 9-38 

12 février 2016 – Logique de la souveraineté p. 39-77

26 février 2016 – Homo Sacer p. 81-96 

11 mars 2016 – Homo Sacer p. 97-126 

1 avril 2016 – Le camp comme paradigme biopolitique du moderne p. 129-178

15 avril 2016 – Le camp comme paradigme biopolitique du moderne p. 179-203

 

Pour informations: marie-helene.desmeules.1@ulaval.ca; sophie-jan.arrien@fp.ulaval.ca 

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AFFICHE

 

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AUTOMNE 2014
Qu'est-ce que la métaphysique?
de Martin Heidegger

 

Le groupe de lecture se réunira toutes les deux semaines, au cours de l’automne 2014, afin d’analyser et de discuter cette importante conférence de l’année 1929. La rencontre aura lieu au local FAS-312 à l’Université Laval, entre 13h30 et 15h30. Les étudiants des trois cycles sont bienvenus. Le seul prérequis est d’avoir lu le texte avant la rencontre. 

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La rencontre aura lieu vendredi le 24 octobre. Nous discuterons de la conférence « Qu’est-ce que la métaphysique ? » (au complet).

 

Références :

Martin Heidegger, Questions I et II, Paris, Gallimard (Tel), 1968 :

- « Qu’est-ce que la métaphysique ? », tr. H. Corbin, p. 47-72*

Martin Heidegger, Wegmarken (GA 9), Francfort-sur-le-Main, Klostermann, 1976 :

- « Was ist Metaphysik? », p. 103-122;

Pour toute information ou question concernant le groupe de lecture et ses activités, contacter Sophie-Jan Arrien (sophie-jan.arrien@fp.ulaval.ca).

 

*Il existe une traduction alternative de « Qu’est-ce que la métaphysique ? » de Roger Munier, rendue disponible par Nicolas Rialland sur son site internet (http://www.rialland.org/heidegger/).

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ÉTÉ 2013
La bête et le souverain
de Jacques Derrida

 

Le groupe de lecture se réunira à toutes les semaines, au cours de l’été 2013, afin d’analyser et discuter le premier volume du séminaire qu’enseigna Jacques Derrida en 2001-2002. Les rencontres auront lieu les jeudi à 19h dans un endroit encore à déterminer.

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La première rencontre aura lieu le jeudi 9 mai. Nous discuterons, à cette occasion, la Première séance (12 décembre 2001) du séminaire de Jacques Derrida publié aux éditions Galilée. Chaque séance du groupe de lecture portera sur un cours spécifique du séminaire de Derrida. Nous prévoyons ainsi la tenue de 13 rencontres (9 mai au 1er août).

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Nous souhaitons, par ces rencontres, discuter des principaux enjeux qui sont au cœur de l’argumentation de Derrida. Aucune connaissance préalable de l’œuvre de Jacques Derrida n’est nécessaire pour pouvoir suivre ce cercle de lecture.

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« Partant de la célèbre fable de La Fontaine, Le loup et l’agneau, en laquelle se rassemble toute une longue tradition de pensée sur les rapports de la force et du droit, de la force et de la justice, en amont comme en aval, dans une analyse minutieuse des textes de Machiavel, Hobbes, Rousseau, comme de Schmitt, Lacan, Deleuze, Valéry ou Celan, Jacques Derrida tente “une sorte de taxinomie des figures animales du politique” et de la souveraineté, explorant ainsi les logiques qui tantôt organisent la soumission de la bête (et du vivant) à la souveraineté politique, tantôt dévoilent une analogie troublante entre la bête et le souverain, comme entre le souverain et Dieu, qui ont en partage le lieu d’une certaine extériorité au regard de la “loi” et du “droit”. » (Extrait du quatrième de couverture)  

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Pour toute information ou question concernant le groupe de lecture et ses activités, contacter: Olivier Ducharme (olivier.ducharme.1@ulaval.ca)

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AUTOMNE 2013
ATELIER CINÉMA ET PHILOSOPHIE

 

L’Atelier Cinéma et Philosophie propose cet automne une sélection de cinq longs métrages qui ont été produit ces dernières années. Mélangeant de jeunes réalisateurs (Steve McQueen, Joachim Trier) à d’autres établis (Lars Von Trier, Michael Haneke), cette sélection vise principalement à mettre en valeur la diversité et la vivacité du cinéma européen et américain.

 

Ces projections, qui se dérouleront le jeudi à 19h au local 4117 de la bibliothèque du pavillon Jean-Charles-Bonenfant seront suivies d’une discussion où chaque participant aura la liberté de discuter du film qu’il vient de voir. Le but de ces rencontres est de pouvoir partager une œuvre et d’en discuter pour en faire ressortir les principaux éléments.

 

Programmation :

 

19 septembre : Shame (2011) Steve McQueen

10 octobre : Oslo, 31 août (2011) Joachim Trier

24 octobre : Melancholia (2011) Lars Von Trier

14 novembre : Ruban Blanc (2009) Michael Haneke

5 décembre : Frances Ha (2012) Noah Baumbach

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AUTOMNE 2012 - HIVER 2013
ÊTRE ET TEMPS
de Martin Heidegger

 

Le groupe de lecture se réunira toutes les deux semaines, au cours de l’automne 2012 et de l’hiver 2013, afin d’analyser et discuter cette œuvre marquante du XXe siècle. Les rencontres auront lieu les vendredi après-midi, au local FAS 312 à l’Université Laval, entre 13h et 15h, sauf exception. Nous travaillerons à partir de la traduction hors-commerce d’Emmanuel Martineau (Authentica, Paris, 1985). Le texte est disponible chez Zone (à titre de recueil pour le cours PHI-3104 – Heidegger).

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